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  • : Le blog de Vivi
  • : Relai d'informations dans la protection animale, l'écologie mais aussi les injustices sociales, l'atteinte aux libertés. Chaque jour nous rappelle que l'homme n'est pas seulement un loup pour l'homme, c'est aussi un prédateur pour toute la création ...
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16 décembre 2008 2 16 /12 /décembre /2008 16:46
Reçu de Mondialisation ca,


Six ans plus tard, Bush a enfin trouvé...Bushoes
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Mondialisation.ca, Le 16 decembre 2008



 
© Le Devoir. Garnotte.

 
© Il manifesto .
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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 17:42

Bon, je sais. Bientôt Noël. Pour beaucoup, c'est la corvée de l'année !!

Si je puis me permettre de faire une remarque ... s'ii y a bien une période où nous devrions consommez intelligent, c'est bien maintenant. Alors, voici, en vrac, mes coups de coeur à moi. Militants, instructifs, pas toujours utiles pour certains mais toujours pour la bonne cause. Pour ceux qui n'ont pas d'idées ... ça peut être utile !!

 

- http://www.sos-levriers.org/ : Rubrique "Notre petit shop". Une partie des sommes versées revient à l'association SOS-Lévriers, qui je vous rappelle, sauve des lévriers espagnols.


- http://www.flac-anticorrida.org/LIENS/laboutique.html :


- http://www.anticorrida.org/ : des infos sur la tuerimachie pour ceux qui douterait encore de la barbarie de cette soit disant tradition


- http://www.survivalfrance.org/shopping/ : Mouvement pour les peuples indigènes


- http://www.boutique.amnesty.fr/ : Boutique d'Amnesty International


- http://www.pmaf.org/boutique/catalog.php : La boutique de la Protection mondiale des animaux de la ferme


- http://www.onevoice-enligne.com/ : Boutique de One Voice


- http://www.lpo-boutique.com/ : Boutique de la Ligue pour la Protection des Oiseaux


- http://boutique.sortirdunucleaire.org/ : Ni nucléaire, ni effet de serre ... La boutique du réseau Sortir du Nucléaire. Un petit compteur geiger pour noël, ça vous dit ?? Non, je blague, ils n'en ont pas !! Ça, vous pouvez en trouver sur http://www.criirad.org/ ... Mais ça peut surprendre, comme cadeau ... À quand les pastilles d'iode ?

 

- http://www.naturopattes.eu/librairie.html#anchor-top : Le site de Carole Morin (je devrais dire un des sites ... elle n'arrête pas !!). Pour apprendre à soigner vos animaux autrement ... Une mine d'informations !!


- http://boutique.l214.com/ : Boutique de l'association L214. Pourquoi L214 ? En 1976 les animaux sont pour la première fois explicitement désignés comme "êtres sensibles" dans la loi française. C'est l'article L214 du code rural. Les implications éthiques de la conscience animale sont considérables. Pour l'heure, elles n'ont été sérieusement prises en compte ni dans les pratiques ni dans le droit.

 

Pour le bio, voici mes sites préférés :

 

- Aroma-zone

 

- Le monde du bio

 

-Femme au naturel

 

- Bébé au naturel

 

-Maison au naturel

 

- Webecologie

 

- Tout allant vert

 

- Jouet au naturel


..... J'en oublie plein mais c'est un bon début !! Non ?

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10 novembre 2008 1 10 /11 /novembre /2008 22:03
J'ai une pensée émue ce soir pour une grande dame.

Sa voix rauque a bercé mon enfance, les longs dimanches après-midi dans l'odeur du linge fraîchement repassé. Miriam Makeba ... rien que son nom sonnait déjà comme la promesse de l'Afrique, chaude et rythmée, pleine d'énergie. J'écoute souvent ses disques, "Pata pata" surtout. J'ai un faible pour la chanson du même titre mais aussi "Maria Fulo", Ha po zamani", "West wind". J'adore cet album. Je ne peux l'écouter ni sans chanter, ni sans sauter partout ...

Voilà, pour moi, bien plus qu'une militante, c'est un petit bout d'enfance qui prend le large.


Lire l'article de Rue89


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8 septembre 2008 1 08 /09 /septembre /2008 23:20

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24 août 2008 7 24 /08 /août /2008 22:05


JO Chine
envoyé par raph66


No comment ...
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23 août 2008 6 23 /08 /août /2008 22:45
Nous nous menaçons nous-mêmes

 

«La survie de l'espèce humaine dépend de sa capacité à trouver de nouvelles terres dans l'Univers.» (Stephen Hawking)


Pas d'accord. Hawking veut coloniser l'espace. Procédons par ordre. Où en sommes-nous sur Terre? Dans l'histoire de l'humanité, des nouvelles terres ont déjà été trouvées par des explorateurs, habitées ou non, et l'humanité les occupe à toutes les latitudes habitables. Nous en connaissons le résultat. Pas terrible.


Si nous avons le même comportement, les nouvelles planètes, à supposer qu'elles existent, qui nous accueilleraient, deviendraient vite malades de notre civilisation.


Pour l'instant, l'essentiel est d'abord que nous nous rendions tous compte que nous pillons les ressources non renouvelables de la Terre, que nous exterminons des milliers d'espèces qui nous ont précédés dans l'histoire du vivant et que, nous privant d'elles, nous nous menaçons nous-mêmes.


Ensuite, il faut trouver les remèdes à la situation dans laquelle nous nous sommes mis afin que le départ de notre planète mère ne soit pas nécessaire, même si on trouve une planète Terre bis. On sait ce qu'on quitte, mais serait-ce pour le meilleur ou pour le pire? Car enfin, imaginons le voyage. Des milliards de personnes à évacuer à des millions ou des milliards de kilomètres...


«Il faut que quelqu'un commence»


À bien y réfléchir, nous pouvons changer de planète sans quitter la nôtre. Il suffit de commencer, même tout seul, dans son quartier ou dans sa famille. D'ailleurs, beaucoup d'entre nous ont commencé, comme dans les petits contes philosophiques tels celui de la montagne qui cache le soleil ou celui du colibri. Les deux histoires disent la même chose.


Une montagne enserre une vallée de ses escarpements si hauts que jamais le soleil n'éclaire les habitants. Et ils se lamentent des siècles durant, implorant en vain toutes les divinités possibles. Les récoltes sont maigres, les enfants faméliques. Près de la mort, un vieillard qui a beaucoup réfléchi s'en va chaque jour avec un pic, au petit matin, et ôte quelques cailloux du sommet. À ceux qui l'interrogent, il répond: «Si vous voulez rester là, que faire d'autre pour faire venir le soleil?»


Un terrible incendie s'est déclaré dans la jungle. Les animaux se sont tous réfugiés de l'autre côté du grand fleuve. Ils regardent leur maison qui brûle. Ils attendent.


Seul un petit colibri fait des allers-retours, de la berge du fleuve à la forêt en flammes, et de la forêt en flammes à la berge du fleuve. Il transporte une ou deux gouttes d'eau chaque fois et les lâche sur les arbres transformés en torches.


Chacun doit faire sa part


Grâce à ceux qui minimisent leurs déplacements en voiture chaque fois que c'est possible, l'atmosphère devient moins favorable au sureffet de serre. Grâce à ceux qui trient et recyclent au maximum, la planète ne croulera pas sous les déchets. Grâce à ceux qui économisent l'eau, ceux qui renoncent aux pesticides, ceux qui choisissent les panneaux solaires, isolent leur maison... grâce à tous ceux qui changent eux-mêmes, la planète change.


Plus vite nous changerons, plus vite la planète sera différente.


Et elle sera guérie pour les quelque cinq milliards d'années où le Soleil existera encore, avant de devenir une naine blanche. La vie, ici sur la petite planète Terre, pourrait encore durer presque autant...


Hubert Reeves, le 15 juin 2008


Source : Canoë infos

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14 juillet 2008 1 14 /07 /juillet /2008 11:01
" Dans les rouages universels, le rouage Etat ne s'impose pas comme le plus indispensable. Mais c'est la personne humaine, libre, créatrice et sensible qui façonne le beau et exalte le sublime, alors que les masses restent entraînées dans une ronde infernale d'imbécillité et d'abrutissement.
La pire des institutions grégaires se prénomme l'armée. Je la hais. Si un homme peut éprouver quelque plaisir à défiler en rang aux sons d'une musique, je méprise cet homme ... Il ne mérite pas un cerveau humain puisqu'une moelle épinière le satisfait. Nous devrions faire disparaître le plus rapidement ce cancer de la civilisation. Je hais violemment, l'héroïsme sur ordre, la violence gratuite et le nationalisme débile. La guerre est la chose la plus méprisable. Je préférerais me laisser assassiner que de participer à cette ignominie."

Albert Einstein, "Comment je vois le monde", Edition Flammarion, 1979.

 

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13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 12:59

"Avoir davantage pitié des bêtes que des hommes, c'est pas très bien vu chez les hommes. C'est considéré comme une sorte de désertion, de trahison, voire de perversion ou d'infirmité mentale. Mais bon dieu, nous sommes hommes par hasard. Tant mieux, j'aime bien comprendre le monde. Et c'est justement parce que je suis homme que je puis transcender cet instinct grégaire, irréfléchi, purement animal qui fait se serrer les coudes aux hommes, les incite à diviniser l'homme par-dessus toute créature. Réflexe spontané, réflexe normal. Normal chez une oie, chez un phoque, chez un hareng. Un homme devrait aller plus loin. C'est parce que j'essaie d'être vraiment, pleinement homme, c'est-à-dire une bête avec un petit quelque chose en plus, que je mets sur un pied d'égalité ce qui est homme et ce qui ne l'est pas.

 

M'emmerdez pas avec votre St François d'Assise, j'ai pas de paradis à gagner. Mon amour des bêtes est bien autre chose qu'un attendrissement devant le mignon minet, bien autre chose qu'une lamentation devant les espèces, j'm'en fous, je ne suis pas collectionneur d'espèces, des millions d'espèces ont disparu depuis que la première lave s'est figée. Seuls m'intéressent les individus. Mon horreur du meurtre, de la souffrance, du saccage, de la peur infligée fait de ma tranche de vie une descente aux enfers. Nous tous, les vivants, ne sommes-nous donc pas des passagers de la même planète ? L'homme n'a pas besoin de ma pitié : il a largement assez de la sienne propre. S'aime-t-il le bougre ! la littérature, la religion, la philosophie, la politique, l'art, la publicité, la science même n'intéressent les hommes que lorsqu'ils les mettent au premier plan, tous ne sont qu'exaltation de l'homme, incitations à aimer l'homme, déification de l'homme. Les bêtes n'ont pas, si j'ose dire, la parole. Elles n'ont pas d'avocat chez les hommes. Elles ne sont que tolérées. Tolérées dans la mesure où elles sont utiles, ou jolies, ou attendrissantes. Ou comestibles. Les hommes les ont ingénieusement classées en animaux « utiles » et animaux « nuisibles ». Utiles ou nuisibles pour les hommes, ça va de soi. Les chinois ont patiemment détruit les oiseaux parce qu'ils mangeaient une partie du riz destiné aux chinois.

 

De quel droit les chinois sont-ils si nombreux qu'il n'y a plus de place pour les oiseaux ? Du droit du plus fort, hé oui ! Voilà qui est net ! Ne venez plus m'emmerder avec votre supériorité morale. Ni avec vos bons dieux, faits à l'image des hommes, par les hommes, pour les hommes. Si les petits cochons atomiques ne mangent pas l'humanité en route, il n'existera bientôt plus la moindre bête ni la moindre plante « nuisible » ou « inutile ». Le travail est déjà bien avancé et le mouvement s'accélère. La mécanisation libèrera -peut-être - l'homme du travail « servile ». Elle a déjà libéré le cheval : il a disparu. On n'a plus besoin de lui pour tirer la charrue, il n'existe quasiment plus à l'état sauvage, adieu le cheval. Oui, on en gardera quelques-uns, pour jouer au dada, pour le tiercé, pour le ciné, pour la nostalgie. L'insémination artificielle a déjà réduit l'espèce « boeuf » à ses seules femelles. Un taureau féconde -par la poste- des millions de vaches. Oui, on s'en garde quelques-uns pour les corridas, spectacle d'une « bouleversante grandeur » où l'homme, intelligence « sublime », affronte la bête, les yeux dans les yeux ... oui, on se garde quelques faisans, quelques lapins, quelques cerfs ... pour la chasse. On se garde quelques éléphants pour que les petits merdeux aillent les voir dans les zoos, et quelques autres dans des bouts de savane pour que les papas des merdeux aillent y faire des safaris-photos après le déjeuner d'affaires. Pourquoi je m'énerve comme ça ? Parce que je les voudrais semblables à ce qu'ils se vantent d'être, ces tas : un peu plus, un peu mieux que les autres bêtes. Mais non, ils le sont, certes, mais pas assez. Pas autant qu'ils croient. A mi-chemin. Et à mi-chemin entre ce qu'est la bête et ce que devrait être l'homme, il y a le con. Et le con s'octroie sans problème la propriété absolue de la Terre et de tout ce qui vit dessus, et même l'univers entier, tant qu'une espèce plus forte ou plus avancée techniquement mais tout aussi con ne l'aura traité lui-même comme il traite ce qui lui est « inférieur » « inférieur ». Rien que ce mot ! Il y a même toute une hiérarchie ...."


François Cavanna

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3 avril 2008 4 03 /04 /avril /2008 21:55


"Le plus clair de mon temps, je le passe à l'obscurcir, parce que la lumière me gêne".

  Boris Vian, "L'écume des jours"
 



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2 avril 2008 3 02 /04 /avril /2008 20:36

"Un de nos amis marchait sur une plage mexicaine déserte, au coucher du soleil. Peu à peu, il commença à distinguer la silhouette d'un autre homme dans le lointain. Quand il fut plus près, il remarqua que l'homme, un indigène du pays, ne cessait de se pencher pour ramasser quelque chose qu'il jetait aussitôt à l'eau. Maintes et maintes fois, inlassablement, il lançait des choses à tour de bras dans l'océan.

En s'approchant encore davantage, notre ami remarqua que l'homme ramassait les étoiles de mer que la marée avait rejetées sur la plage et, une par une, les relançait dans l'eau.

Notre ami était intrigué. Il aborda l'homme et lui dit: "Bonsoir, mon ami. Je me demandais ce que vous étiez en train de faire."

"Je rejette les étoiles de mer dans l'océan. C'est la marée basse, voyez-vous, et toutes ces étoiles de mer ont échoué sur la plage. Si je ne les rejette pas à la mer, elles vont mourir du manque d'oxygène."

"Je comprends, répliqua notre ami, mais il doit y avoir des milliers d'étoiles de mer sur cette plage. Vous ne pourrez pas toutes les sauver. Il y en a tout simplement trop. Et vous ne vous rendez pas compte que le même phénomène se produit probablement à l'instant même sur des centaines de plages tout le long de la côte? Vous ne voyez pas que vous ne pouvez rien y changer?"

L'indigène sourit, se pencha et ramassa une autre étoile de mer. En la rejetant à la mer, il répondit : "Ça change tout pour celle-là!"


De Jack Canfield et Mark V. Hansen, "Bol de poulet pour l'âme"

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